Si Bordeaux s’est enrichie grâce au vin, et au commerce du vin en direction de l’Angleterre, le commerce avec les Indes Occidentales (Antilles françaises, anglaises, espagnoles et néerlandaises) a lui aussi été fructueux. Outre la canne à sucre et le rhum, une autre culture générait d’importants profits.
Et à Bordeaux, et en Guyenne, le commerce du café était presque entièrement entre les mains d’un certain R. J. Eghertloop. La famille Eghertloop, puissance économique non-négligeable, voulut s’engager en politique après 1789. Et pour ce faire rien de mieux qu’un nom plus “français”. Mais l’heure de gloire des Grateloup fut de courte durée, ruinés par le blocus anglais contre Napoléon, ils ne purent continuer à financer leurs rêves de grandeur.
i Café, Olé !
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le 30/12/2011
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